sexta-feira, 28 de dezembro de 2007



"As formas culturais poliédricas emergentes não se coadunam, de facto, com os velhos atlas da cultura, nem tão pouco com a ideia do terreno como um lugar para onde se vai e de onde se regressa, e isso coloca-nos questões pragmáticas, obrigando a repensar as estratégias de localização inerentes ao trabalho de campo".

Cardeira da Silva, Maria (1997), "Etnografias de alfândega: exercícios simples com vista a uma desterritorialização do trabalho de campo", in Ethnologia, nº6-8, p. 150.

sexta-feira, 21 de dezembro de 2007

ANTROPOLOGIA VISUAL


UMA OBRA URGENTE PARA (RE)PENSAR A ANTROPOLOGIA VISUAL!

segunda-feira, 17 de dezembro de 2007

MALINOWSKI: O "PAI" DA OBSERVAÇÃO PARTICIPANTE


Curiosamente, aqui faz-nos lembrar a antropologia "de varanda" praticada pela administração colonial. Veja-se onde está posicionado o antropólogo e os nativos. Analisar estes documentos e confrontá-los com os textos produzidos pelo autor, seria uma tarefa gratificante para a antropologia e para os antropológos.

sábado, 8 de dezembro de 2007

"A REZA DA CHUVA"


(...) Dizem-me que há pouco tempo andaram a pedir a água de porta em porta. Chamam-lhe a procissão da água. Peço para me dizerem a reza:
A Ti Clementina começa:
Senhori de Deus e de Mesericordia
mandai-nos uma pinguinha de água por esmola
que morrem os homenzinhos à sede
e os inocentes à fome
rezemos mais um padre nosso à Sagrada Morte Paixão"

Rezamos um Pai-Nosso e deita-se um balde de água. Isto é feto à note"

(Extracto do Diário de Campo nº2, 15 Fevereiro de 2005)

sexta-feira, 7 de dezembro de 2007



Uma leitura urgente!

quarta-feira, 5 de dezembro de 2007

La Vie des Objects



UMA OBRA BRILHANTE!!!

UM MAL CONTEMPORANEO: A GORDURA GLOBAL



EXPOSIÇÂO

MENINOS GORDOS

Galeria de exposições do Museu Antropológico da Universidade de Coimbra (até 14 de Dezembro).

segunda-feira, 26 de novembro de 2007

OBJECTOS FERIDOS



Objets blessés. La réparation en Afrique
Sous la direction de Gaetano Speranza, société d’ethnologie, université Paris X-Nanterre

Auteurs :
- Hana Chidiac, Michèle Dejean, Marie-Claude Dupré, Éric Jolly, Kadidia Kane Devautour, Salia Malé, Françoise Monnin, Louis Perrois, Albert Rouet, Paulette Roulon-Doko

Exposition au musée du quai Branly, du 19 juin au 16 septembre 2007

DESCRIPTIF
96 pages au format 20 x 26 cm
58 illustrations en couleurs,

Prix de vente public : 25 €
ISBN : 2 915133 48 6

Coédition musée du quai Branly – 5 Continents

ARGUMENTAIRERéparer, recoudre, consolider, colmater… Objets blessés aborde le thème inexploré de la réparation locale par les populations autochtones. Cette publication ouvre un regard nouveau sur les objets africains, et présente 120 « objets blessés » choisis parmi les 500 objets réparés du musée du quai Branly. Le catalogue présente de nombreux points de vue car chaque culture donne à la réparation des objets, rituels ou usuels, une forme et un sens différents.
Mais l’exposition s’interroge surtout sur le caractère poétique de la restauration. Par ce supplément presque mystique de vie et de puissance que le geste de l’homme confère à l’objet, celui-ci semble durablement soustrait à l’éphémère. En outre, la réparation est une marque d’authenticité, si tant est qu’on ne cherche pas à la falsifier comme on falsifie les objets intacts.
La première partie précise les sens du mot « réparation », aussi bien en français que dans un certain nombre de langues africaines. Puis sont mises en évidence les différences entre réparation et restauration. Enfin une réflexion ethnologique situe l’acte de réparation dans la vie complexe de l’objet .
La deuxième partie explore le sens de la réparation pour les trois principales religions présentes dans le continent : l’animisme, l’islam et le christianisme. La troisième partie présente, de façon plus analytique, la question de la réparation pour trois cultures différentes : Maghreb, Dogons, Gabon. Enfin, le texte de Françoise Monnin montre l’importance des concepts de déchirure et de réparation dans l’art occidental contemporain.


LE CATALOGUEÀ l’origine, l’idée est simple. On ne parle pas plus que l’on n’écrit sur les objets réparés. Mais tout se complique lorsqu’on s’interroge sur le sens des mots.
On répare une calebasse cassée. Mais répare-t-on aussi la Mosquée de Djenné ? Les poteaux qui sortent du corps de cette mosquée sont en même temps des éléments structurels inhérents à sa construction, et des marches permettent de la parcourir lorsqu’il est nécessaire de la remettre en état.
En Occident, on ne répare pas une cathédrale ; on la restaure ou on la consolide, et l’on détruit des gratte-ciels pour les remplacer par d’autres.
Si un récipient percé ou cassé ne remplit plus sa fonction, il doit être réparé ou remplacé. Mais à partir de quel degré de dégradation un masque ou une statue perdent-ils leur fonctionnalité rituelle ? Et par quel type d’intervention peut-on réinstaurer cette fonctionnalité ? La réparation a-t-elle ce seul objectif ou vise-t-elle seulement à empêcher la dégradation ultérieure de l’objet ?
Il est aussi des interventions dont le résultat ressemble à s’y méprendre à une réparation et qui, pourtant, ne sont qu’ajout, simple décor. Parfois même, ce qui apparaît comme une réparation n’est qu’une partie constitutive de la structure d’origine de l’objet. Par exemple, une grosse ligature de ficelle qui couvre la jambe d’une statue peut être le simulacre d’une maladie.
Dans une harpe, on remplace les cordes, et si une clé casse, on la remplace aussi, mais s’agit-il de réparation ou d’entretien ? En revanche, si un rat mange la peau de la table qui entoure l’ouie, on recoud un morceau de peau et il s’agit bien de réparation.
Et si l’on colmate une fente dans une statue, avec du tissu ou de la résine, peut-on encore parler de réparation ?
Enfin, pouvions-nous penser que les dieux allaient s’en mêler ? Chaque religion, chaque culture donne un sens différent à l’objet, à ses blessures, à ses réparations.

Ainsi, le concept apparemment simple et univoque de « réparation » nous apparaît-il progressivement dans toute sa complexité.


SOMMAIREAvant-propos
Stéphane Martin

Vie et survie des objets
Gaetano Speranza

I : SENS ET CONTRESENS DE LA REPARATION
- Les mots de la réparation
Paulette Roulon-Doko, directeur de recherche au CNRS
- Objets réparés, objets restaurés
Michèle Dejean, restauratrice, musée du quai Branly
- La réparation en Afrique : un moment de la vie des objets
Marie-Claude Dupré

II : LA REPARATION VUE PAR LES DIEUX
- Animisme : réparer le corps social
Salia Malé, maître de recherche, musée national du Mali
- Islam : dialogue entre le marabout et le forgeron
Kadidia Kane Devautour, université de Sherbrooke, Canada
- Christianisme : le sens de l’objet cassé
Monseigneur Albert Rouet, archevêque de Poitiers

III : LA REPARATION EN AFRIQUE
- Afrique du Nord : l’art de sauver les objets
Hana Chidiac, responsable de l’unité patrimoniale Afrique du Nord et Proche-Orient, musée du quai Branly
- Objets dogon : des réparations aux multiples enjeux
Eric Jolly, chargé de recherche au CNRS
- Gabon : objets éphémères et images d’éternité
Louis Perrois, ethnologue, directeur de recherche honoraire de l’ORSTOM

La réparation dans l’art occidental contemporain. De l’explosion moderne à la réparation contemporaine.
Françoise Monnin, historienne de l’art

Bibliographie
Retour au contenu principal




IMPRESSIONANTE!!!

terça-feira, 13 de novembro de 2007

A ordenha...


Monsanto, 2007.

"Encontro casualmente um grupo de homens a ordenhar um rebanho, são 17 horas. Acho interessante a estrutura que um deles denomina de "cais". Fico ali a observar os gestos, a tecnica da ordenha, os recipientes do leite. Fazem-me um interrogatório completo. Passei de inquiridor a inquirido ou de "observador a observado". Também se aprende!"

(Diário de campo, 2007)

domingo, 11 de novembro de 2007

MONOGRAFIAS CLASSICAS





"Rio de Onor é uma comunidade constituida por duas aldeias gémeas - quse diríamos siamesas."

Jorge Dias, in Rio de Onor. Comunitarismo agro-pastoril.

sexta-feira, 9 de novembro de 2007

AROMAS DE URZE



"Não posso esquecer-me da intensidade do sentimento de solidão nos momentos que se seguiram. O dia aquecia, o cheiro quente e doce da giesta e do tojo penetravam nos meus pulmões como que a abafar-me. Pareceu-me que toda a minha vida tinha sido assim. Depois, dei com um campo totalmente amarelo da giesta (por isso chamam estes montes Serra Amarela); com uma escarpa íngreme para a direita; com um rebanho de cabras, semiencoberto pelo mato do outro lado do ribeiro fundo; com uma formação de pedras impressionante. Enfim, uma lista interminável de objectos de atenção que foram dissolvendo silenciosamente o apertar do nó. Ao chegar ao Chão de Bilhares já quase me esquecera das abelhas. Já tinha recriado aquela fantasia salutar de desdobramento interior, que nos permite estar sozinhos sem que a solidão afogue a nossa humanidade. Aquela constante conversa interior deu vida ao Robinson Crusoe.
E foi também essa sensação que, na manhã da visita a S. Silvestre com o professor, me fez descer do ponto de observação que encontrara sobre o minusculo cemitério, já fora do lugar. Estivera ai sentado a ler talvez uma hora ou coisa assim. Terá sido os Nuer de Evans-Pritchard, alguma coisa de Mary Douglas ou algum artigo da colecção que o Teodor Shanin organizou para a Penguin sobre sociedades camponesas."

João de Pina Cabral, in "Aromas de Urze"

"O etnógrafo defronta-se necessariamente com a questão da relevância dos detalhes de interacção que observa para a compreensão da condição humana como um todo: um problema de escalas que exigem mediação."

segunda-feira, 5 de novembro de 2007

Ainda os objectos...


Francela, V. A, 2007.

"Esta francela já era da minha avó e secalhar já seria dos pais dela. Eu ainda a utilizo, faço aqui um queijinho ou dois. A minha filha já a quis levar para a casa dela, mas eu não deixei. Eu guardei-a porque já é muito antiga e é uma recordação dos meus avós. Agora serve para pôr as maças."

(Idalina, 72 anos, V. A.)

terça-feira, 30 de outubro de 2007

Uma bandoleira de pastor


Bandoleira, Zebreira 2005.

"Fui eu que pus este crucifixo aqui na bandolera, fica aqui bonito"
(Pastor, Zebreira 2005, Extracto do diário de campo nº7, Novembro 2005)

segunda-feira, 29 de outubro de 2007

CADERNOS PRETOS DE CAPA DURA



"Eu já tinha uns 10 anos e ainda andava descalço, passava por cima dos carapetos e não me queixava, os pés já estavam avesados. Os meus primeiros sapatos foram fêtos pelo sapatero no Rosmaninhal, custaram uns 50$00."

(Entretanto olha para as ovelhas e diz que tem que ir andando para cima)




(Pastor, 85 anos, Rosmaninhal;Extracto do diário de campo nº2, 15 de Fevereiro de 2005)

domingo, 28 de outubro de 2007

A FESTA PASTORIL




"Depois de uma interessante caminhada pelas paisagens pastoris da aldeia do Rosmaninhal, entramos na aldeia pelo lugar onde fica situada a Capela de S. João, aqui neste sagrado lugar deixamos a musica milenar dos povos nómadas, tocada com enorme vitalidade pelo Ricardo e pelo Jorge. Depois, como os milenares nómadas, transitamos pelas ruas da aldeia sob uma sonoridade cósmica e os sorrisos dos habitantes da aldeia acompanharam-nos até nos sentarmos em torno de uma mesa farta. Aqui repousamos como pastores exaustos".

quinta-feira, 18 de outubro de 2007

FRAGMENTOS DE CARLOS CASTANEDA: A ERVA DO DIABO



Datura Stramonium, Erva-do-Diabo

"Dividi os dados em sectores de conceitos e métodos relacionados e arrumei os sectores hierarquicamente de acordo com sua importância subjectiva - isto é, em termos de impacto que cada qual teve sobre mim. Desse modo cheguei à seguinte classificação: usos de plantas alucinógenas; processos e fórmulas utilizados na feitiçaria; aquisição e manipulação de objectos de poder; usos de plantas medicinais; cançoes e lendas" (Carlos Castaneda, A erva do diabo. Os ensinamentos de Dom Juan).

quarta-feira, 17 de outubro de 2007

Catalogo do Ecomuseu Creusot-Montceau (França)




Brilhante!!

Para Relaxar!


Guadalaviar 2007.

Depois de uma viagem dificil, alguns momentos COOL, Very COOL!!!

segunda-feira, 15 de outubro de 2007

Museu da Transumancia de Guadalaviar ( Espanha)


Réplica do pastor transumante acompanhado do burro, animal utilizado para transporte das cargas.

"Chegamos finalmente a Guadalaviar, neva intensamente, a estrada, para além de ser estreita, está perigosamente cheia de neve. Arriscamos e conseguimos chegar! Depois de alguns telefonemas, fomos à procura da responsável pelo museu. Pois nesta altura encontra-se fechado, abrindo pontualmente a pedido dos visitantes. Chega a responsável, é bastante prestável, tem a amabilidade de nos fazer uma visita guiada. O museu comporta três pisos, em cada um organizam-se as diferentes temáticas associadas ao mundo pastoril. Entre inúmeras surpresas agradáveis, destaco a leitura que o museu tem efectuado com outras culturas do mundo pastoril ." (Extracto do diário de campo, Março 2007)

terça-feira, 9 de outubro de 2007

A matança do porco


Matança do porco, Monsanto, 2006.

"O porco foi morto em cima de uma pedra. Agora uma mulher mexe o sangue com uma colher de pau para que este não "coalhe". Pergunto-lhe qual a função da pequena laranja que observo no meio entre o sangue, dentro do alguidar. Diz-me que serve para ajudar o sangue a não "coalhar". (Extracto do Diário de Campo - 2006)

terça-feira, 7 de agosto de 2007

A ti Inês, "a maior cantadera do Rosmaninhal".


Ti Inês, Romaria da Santa Madalena, Rosmaninhal, 2005.

"Depois da missa, um grupo de mulheres toca adufe e entoa canções dedicadas à divindade. Os homens circundam a capela.
A ti Inês pergunta-me se gostei de a ouvir cantar, diz-me que ninguém lhe ganha a tocar e a cantar." (Diário de campo,Abril 2005)

quarta-feira, 1 de agosto de 2007

Uma reflexão



"O TRABALHO DE CAMPO É UMA DIALÉCTICA ENTRE A REFLEXÃO E A IMEDIATEZ"
In Reflexões sobre um trabalho de campo em Marrocos, Paul Rabinow.

segunda-feira, 30 de julho de 2007

Trabalho de campo entre parêntesis



A salutar laranjinha durante o trabalho de campo.

segunda-feira, 23 de julho de 2007

Chegaram os antropólogos





Llegaron los antropólogos!


Las empresas formulan estrategias que son etnocentristas a partir de prejuicios que no dan cuenta del significado, del porqué y del cómo las personas consumen.
POR: CARL HENRIK LANGEBAEK RUEDA*
Las más poderosas herramientas etnográficas están causando revuelo en el mundo de los negocios. La observación participante, los grupos de foco y las historias de vida son aprovechadas para conocer qué y cómo consume la gente. No es nuevo: profesiones que hace unos años despertaban maliciosas sonrisas, ahora son apreciadas. No hace mucho, el New York Times publicó una columna con sugestivo título To beat the market, hire a philosopher, en el cual quedaba claro que para ser competitivas las compañías acudían a los filósofos, aprovechando su capacidad para el razonamiento abstracto, así como para establecer estrategias de acción a partir de información compleja. Ahora, los antropólogos no se quedan atrás.

Una reciente columna publicada en Business Week, escrita por Bruce Nussbaum, Ethnography is the Core Competence, evalúa el impacto de los antropólogos en la vida empresarial. No se trata de la antropología aplicada de mediados del siglo pasado, mediante la cual la Unión Soviética, China y Estados Unidos contrataban antropólogos para conocer mejor a sus enemigos, o para transformar las costumbres de los pueblos. Ahora, los antropólogos pueden ayudar a que las empresas conozcan mejor a sus consumidores. No hay que ir muy lejos para encontrar experiencias interesantes. En Colombia, las agencias de investigación de publicidad han encontrado que las empresas tienen un conocimiento muy precario del consumidor. No tienen idea de la diversidad cultural, de los patrones del porqué del consumo, de lo que gusta y no gusta. En otras palabras, se han dado cuenta de que formulan estrategias que son etnocentristas a partir de prejuicios que no dan cuenta del significado, del porqué y del cómo las personas consumen. 

Algunos antropólogos jóvenes de la Universidad de los Andes pueden contar sus experiencias. Una de ellas es Claudia Méndez. Originalmente estaba interesada en la arqueología, disciplina que excava basura y que aporta datos sobre lo que la gente consume y descarta. Al enfrentarse al mercado laboral, decidió demostrar que las estrategias de los antropólogos podrían ser útiles en la sociedad actual. Una empresa de publicidad la contrató para desarrollar estudios, entre ellos sobre los hábitos de desayuno en los estratos 3 y 4. Gracias a esa experiencia, demostró el valor agregado de su carrera a tal punto que logró el sueño de cualquier publicista: ganar una cuenta, ¡en este caso una empresa de pintura automotriz! Hoy trabaja independiente para conocer de cerca los hábitos de consumo de alimentos y otras categorías para prestigiosas empresas, las cuales aún están asimilando la enorme importancia de sus resultados.

Otros casos son los de Diego Amador y María Lucía Méndez. El primero, en su práctica de grado encontró que la noción de cultura resultaba crucial para entender cómo funcionan las empresas. Después de ser practicante en la oficina de recursos humanos de un grupo empresarial, fue contratado para que siguiera trabajando. María Lucía ingresó como practicante a una empresa de publicidad y transformó las herramientas mediante las cuales se registraban los patrones de consumo, permitiendo que los mismos jóvenes compradores de computadores registraran libremente sus preferencias. Al terminar su práctica, la empresa le pidió que continuara aportando "inventos, cosas locas para hacer las cosas diferentes". 

Quienes valoran el trabajo de los antropólogos admiten su capacidad de apreciar cuestiones culturales generales que escapan a los administradores y economistas y sin cuya comprensión, ni las relaciones laborales ni el mercadeo funcionan efectivamente. Por otra parte, valoran su capacidad para llegar a los otros en sus propios términos, y no como se perciben desde las organizaciones. Como Claudia Méndez admite, una de las aptitudes más apreciadas es la de hacer evidente lo obvio. Ojalá en ello los antropólogos encuentren una forma de contribuir al desarrollo de una sociedad más productiva, pero también más armoniosa y consecuente consigo misma.

*

Departamento de Antropología, Universidad de los Andes

sexta-feira, 13 de julho de 2007

Trabalho de campo na aldeia de Monsanto da Beira


Matança do porco, Monsanto 2006, "chamuscar com o maçarico".

terça-feira, 10 de julho de 2007



Este trabalho etnográfico de Condominas chegou a fazer parte integrante do equipamento de guerra dos Boinas Verdes americanos, durante a guerra do Vietnam. Exige, sem dúvida, uma reflexão profunda sobre a utilidade/valor das obras etnográficas. Um Livro a não perder!

Paralelamente sobre as multiplas reflexões sobre o trabalho de campo leia-se também do mesmo autor "L'exotic est quotidien: Sar Luk, Viet-Nam central".

sexta-feira, 6 de julho de 2007

quarta-feira, 27 de junho de 2007

O sentido dos objectos:coleira de ferro com puas


Coleira de ferro com puas, utilizada nos cães de guardar o gado, Rosmaninhal.

"Esta coleira foi feita a martelo pelo ferreiro. Era a coleira de um cão que eu tinha chamado Rio. Era um cão valente" (demonstra como se pode apertar ou alargar a coleira)

(Diário de campo nº5, Rosmaninhal, 17 de Junho de 2005)

Na senda do sentido dos objectos.

quarta-feira, 13 de junho de 2007

Quando o antropologo se transforma em ajudante de pastor


Zebreira, Arraial do Sr. Luis. Marcação das borregas. 27 Jan 2007.

Naturalmente, o antropólogo não necessita de se converter em "nativo" tal como Malinoswki profetizava, porém, ter a mente aberta só lhe traz vantagens.

segunda-feira, 11 de junho de 2007

Monsanto: perscutando os remotos fluxos



"O etnólogo em exercício é o que se encontra em qualquer parte e que descreve o que observa ou o que ouve nesse mesmo momento" (Marc Augé, Não-lugares, p. 11).

segunda-feira, 28 de maio de 2007

Historias de vida


Penha Garcia, Maria Nabais, 97 anos.

quinta-feira, 24 de maio de 2007

A caminho do museo de la trashumancia de Guadalaviar


Dentro do carro com C. e P.

Não pára de nevar, a estrada está perigosa, pois está cheia de neve. Estamos a subir demasiado, a nossa preocupação é relativamente ao regresso. A paisagem da serra de Albarracin é deslumbrante. Contra todas estas contrariedades vamos visitar o museo de la trashumancia, custo o que custar! (extracto do diário de campo, 28 de Março 2007)

sábado, 19 de maio de 2007

Trabalho de campo partilhado



Algodres, Figueira de Castelo Rodrigo, Estrelinha em diálogos locais.

"Depois de ter passado um tractor e um rebanho de ovelhas, esta mulher apercebeu-se do nosso interesse no rebanho e, de imediato, veio peerguntar quem eramos, a nossa ligação à região (freguesia e concelho) e o que estavamos ali a fazer." (Extrato do diário de campo)

sábado, 12 de maio de 2007

Inquirindo antigos "comercios": a loja do Sr. Fernando



Caixa de botões, Loja do Sr. Fernando, Penha Garcia, 2007.

São universos esquecidos, estes espaços de compra e venda. Sente-se que estão doentes, que vão morrer brevemente. Cada objecto conta uma história e cada história conta um tempo. Os discursos que em torno destes espaços se geram falam-nos do pulsar quotidiano da aldeia, os seus consumos, as suas experiências, o seu contacto ao mundo exterior. Hoje, com a massificação das grandes superficies comerciais, estes espaços de memória definham, porém, no seu interior, coexistem a par com os produtos massificados, objectos que pela sua singulariedade e funcionalidade já não se encontram em lado nenhum. Ou seja, paradoxalmente, estes lugares de memória condenados, de imediato, tornam-se em lugares procurados, pela sua diferença.

quinta-feira, 10 de maio de 2007

Doçaria de Festa



Ti Alice, Salvaterra do Extremo, 2006.

Imiscuido no universo da cozinha da Ti Alice. Aqui neste profundo lugar da alquimia dos sabores, a Ti Alice prepara os famosos "brunhuelos" (doces fritos preparados, sobretudo, na época natalícia).

terça-feira, 8 de maio de 2007

Trabalho de campo partilhado



Nave, Figueira de Castelo Rodrigo,Victor, pastor e Estrelinha (minha eterna).

Fazendo trabalho de campo partilhado, neste caso, eu e a minha eterna Estrelinha.

sábado, 5 de maio de 2007



Zebreira, "Paco", cão de virar o gado.

Um informante chave!

Trabalho de campo em Penha Garcia



Em torno do "olhar distanciado"...